ABDERAMAN KOULAMALLAH EN MEETING EN 2002 A BOUSSO
ABDERAMAN KOULAMMALLAH Meeting UDT à Bousso
envoyé par ibnchoukri. - L'actualité du moment en vidéo.
INTERVENTION DE ABDERAMAN KOULAMALLAH APRES SON MALAISE CARDIAQUE
JE SUIS EN FORME ET JE ME PORTE BIEN!
LA MALEDICTION DE L'OR NOIR
Jeudi 09 octobre 2008
France 24 : TCHAD - BANQUE MONDIALE
La malédiction de l'or noir
(partie 1)
Par Marie Valla
La décision de la Banque mondiale d'attribuer un prêt
au Tchad pour la construction d'un oléoduc contre la promesse d'une
redistribution équitable de la manne pétrolière s'est soldée par un échec.
Chronique d'un désastre annoncé.
Dans un communiqué publié le mois dernier, la Banque mondiale annonçait "qu’elle n’était plus en mesure de soutenir le projet d’oléoduc Tchad-Cameroun" dont elle assurait une partie du financement depuis 2000.
Le ton du communiqué contrastait avec l’enthousiasme qui accompagnait, huit ans plus tôt, la mise en place du projet. L’institution financière parlait alors d’une initiative sans précédent visant à faire bénéficier directement les plus pauvres de la manne pétrolière grâce à un accord unique en son genre : les nouveaux revenus seraient utilisés pour soutenir des programmes de développement économiques et sociaux.
Accusé de ne pas respecter ses engagements pris auprès de la Banque mondiale, le Tchad a immédiatement remboursé le prêt lié à la construction et à l’exploitation de l’oléoduc reliant, sur près de 1 000 kilomètres, le Tchad au Golfe de Guinée via le Cameroun. Libéré de ses obligations, le gouvernement tchadien est désormais libre de dépenser les revenus pétroliers comme bon lui semble.
"La déception est d’autant plus grande que l'accord sur l'utilisation des ressources pétrolières pour le bénéfice des pauvres était la pierre angulaire du projet", affirme Michel Wormser, directeur des opérations pour la région Afrique à la Banque mondiale.
Mais pour beaucoup de membres d’ONG internationales et de la société civile tchadienne, ce désengagement était prévisible : N’Djamena n’aurait pu résister longtemps à la tentation du pétrole et de l’argent facile.
“Le plus grand événement depuis l’indépendance”
La remise en cause de l’accord est "un événement malheureux", explique Nicolas Sarkis, directeur de la revue Pétrole et gaz arabes. "Mais il était important de tenter l’expérience", ajoute-t-il.
Le Tchad savait depuis plusieurs années qu’il était assis sur d’importantes réserves pétrolières, en particulier dans la région de Doba, dans le sud du pays, où quelque 900 millions de barils étaient prêts à sortir de terre. Mais sans façade maritime ni infrastructures permettant l’exportation des barils, les investisseurs ne se bousculaient pas.
"N’oublions pas qu’avant 2002-2003, il était difficile pour un pays comme le Tchad d’attirer l’attention des compagnies étrangères et de leur faire investir des centaines de millions de dollars pour chercher du pétrole, rappelle Nicolas Sarkis. À l’époque, le prix du baril était bas et les compagnies étaient davantage attirées par des pays dont les coûts de production étaient plus avantageux."
Les choses ont changé à la fin des années 1990 lorsque les compagnies pétrolières ont réalisé qu’avec la construction de l’oléoduc, financée en partie par la Banque mondiale, et la coopération des gouvernements tchadien et camerounais, l’investissement pouvait valoir le coup. Les majors américaines Exxon-Mobil et Chevron ainsi que l’entreprise malaisienne Petronas se sont portées candidates.
A cette époque, le Produit national brut (PNB) par habitant n’excède pas les 230 dollars et l’espérance de vie à la naissance s’élève à 49 ans. Pour le président Idriss Déby Itno, la construction de l’oléoduc représente alors "le plus grand événement dans le pays, après l’indépendance", comme il le confira, en 2000, au quotidien français Le Figaro.
En 2004, un an après la mise en exploitation de l’oléoduc, les revenus pétroliers nets représentent plus de 40 % d’un budget national qui reposait presqu’essentiellement sur les exportations du coton. Les revenus pour l’année 2008 s’élèvent d’ores et déjà à 1,4 milliard de dollars.
Le pétrole permet l’achat d’armes, pas de livres
Depuis le début, les militants tchadiens des droits de l’Homme et de l’environnement se sont montrés sceptiques, arguant que le pays n’était pas préparé à la bonne gestion des revenus pétroliers et à faire face aux conséquences de sa richesse soudaine. Leurs appels à un moratoire furent d’abord ignorés. Puis la Banque mondiale a finalement accepté de conditionner le prêt, demandant au gouvernement tchadien de partager de façon équitable les revenus pétroliers.
Ces conditions furent intégrées à une loi adoptée en janvier 1999. Conformément à l’accord, 80 % des revenus pétroliers devaient être alloués à cinq secteurs prioritaires afin de combattre la pauvreté. Près de 10 % des fonds devaient également être transférés à un Fonds pour les générations futures. Un Collège de surveillance, composé de membres du gouvernement et de la société civile, fut chargé du suivi des projets.
Il semble que le président Déby ne se soit jamais véritablement conformé à ses engagements. Selon un représentant d’ONG locale, hormis quelques projets éducatifs et sanitaires dans la zone de production pétrolière, la population n’a jamais vu la couleur de l’argent. Les routes asphaltées, soi-disant financées par l’argent du pétrole, sont déjà pleines de nids de poule, un signe parmi d’autres que le gros de l’argent a surtout servi à "engraisser" les intermédiaires, dénonce Gilbert Maoundonodji, du Groupe de recherches alternatives et de monitoring du projet pétrole Tchad-Cameroun (GRAMP/TC).
En 2006, le prix du baril de pétrole est trois fois supérieur à ce qu’il était six ans auparavant. Une occasion en or pour Idriss Déby Itno de renégocier avec l’institution de Bretton Woods les termes d’un accord qu’il ne jugeait pas suffisamment favorable à ses intérêts. Alors que les relations avec le Soudan voisin deviennent de plus en plus tendues et que le régime tchadien se sent de plus en plus menacé par les mouvements rebelles qui essaiment à travers le pays, la sécurité s’ajoute à la liste des secteurs prioritaires définis par la loi de 1999, ouvrant ainsi la possibilité pour le gouvernement de financer l’achat d’armes officiellement destinées à la défense du pays.
“La Banque mondiale a sous-estimé combien le gouvernement tchadien allait tirer de l’exportation du pétrole", explique un employé d’une ONG préférant conserver l’anonymat compte tenu de la difficulté de travailler au Tchad. La Banque avait un moyen de pression tant que le Tchad disposait de faibles revenus, mais la situation a changé dès que ceux-ci ont augmenté.
Avec ou sans la Banque mondiale, les puits ne sont pas prêts de se tarir. Le gouvernement s’enrichit, les compagnies pétrolières ferment les yeux et la population restent à l’écart. "C’est un débat de David contre Goliath", lance Gilbert Maoundonodji, regrettant que la Banque mondiale ne continue pas d'assumer ses responsabilités vis-à-vis des Tchadiens. "Mais on doit continuer à en parler. Les ressources naturelles appartiennent à tout le monde".
INTERVENTION LIBRE DE HISSEIN KOULAMALLAH
declaration de Hissein koulamallah
Vidéo envoyée par ibnchoukri
DESSOUS DE L'AFFAIRE DE L'ARCHE DE ZOE
L'Arche de Zoé, avec Breteau et Zemmour-ONPC-3-5-08
Vidéo envoyée par bridgetower
L'affaire Arche de Zoé ; ''Les Dessous de l'affaire d'Etats'', avec Eric Breteau, Alexandre Arcady, Jacques Vergès, Michelle Torr (F2 On n’est pas couché 3-5-08) Les quinze dernières minutes de l’interview d’Eric Breteau par Zemmour et Naulleau. A noter : vers le repère 8’40, à la fin de cet extrait, Laurent Ruquier rappelle la teneur d’un article du '' Point '' (http://www.lepoint.fr/actualites/ce-que-breteau-mijotait-a-fresnes/1331/0/241930). Alors qu’il était encore détenu à Fresnes, Eric Breteau, qui songeait à coucher sur le papier ses exploits africains, avait écrit à plusieurs éditeurs en leur expliquant que '' les possibilités de promotion à venir (plateaux TV, émissions de radio, salons littéraires, séances de dédicaces, etc.) feront de ce livre un best-seller, c'est certain ''. Il avait raison. En tout cas pour ce qui concerne '' les possibilités de promotion ''. * L’interview en version intégrale : L'affaire Arche de Zoé ; ''Les Dessous de l'affaire d'Etats'', avec Breteau, Arcady, Vergès, Torr (ONPC 3-5-08)PM http://www.megaupload.com/?d=2L2YAQOV
INTERVIEW DE ABDERAMAN KOULAMALLAH POUR TF1
INTERVIEW DE ABDERAMAN KOULAMALLAH RÉALISE PAR PATRCIA ALLEMONIERE POUR TF1
Interview de Abdéraman Koulamallah sur TF1
Vidéo envoyée par ibnchoukri
Interview de Abdéraman Koulamallah réalisé par Patricia Allemoniere pour TF1
INTERVERTION DE ABDERAMAN KOULAMALLAH SUR FRANCE 24
NEW FCE 24_(converted)
Vidéo envoyée par ibnchoukri
INTERVENTION DE A KOULAMALLAH EN DIRECT SUR LE JOURNAL DE FRANCE 24
REPORTAGE FRANCE 24 SUR LA SITUATION DE L'EST
avec interview de Abdéraman Koulamallah
COMBATS ENTRE NDJAMENA ET PONT BELILE
COMBATS ENTRE NDJAMENA ET PONT BELILE
Combats aux environs de N'djamena
Vidéo envoyée par ibnchoukri
Combats aux environs de N'djamena entre Pont bélilé et N'djamena le samedi 2 février 2008
DES IMAGES DE LA MONTEE SUR NDJAMENA
ARTICLE PUBLIE SUR ABDERAMAN KOULAMALLAH PAR LYADISH SUR SON BLOG
Abderamane Koulamallah était à Paris
L’annonce de l’arrivée de l’ancien porte-parole unique de la défunte CMU a été confirmée cet après-midi par la présence physique de l’intéressé à la manifestation organisée par le Comité de soutien à Ibni Oumar. Arrivé du Caire (Egypte) le jeudi 13 mars pour voir sa famille, Monsieur Abderamane Koulamallah est venu à l'esplanade des Invalides, dit-il, pour soutenir la mobilisation des Tchadiens de France en faveur de la libération de l’opposant enlevé par la garde présidentielle de Déby et porté disparu depuis le 3 février 2008. Lunettes sombres parfaitement vissées au nez, le téléphone constamment collé à l’oreille, l’ex porte-parole de la CMU donnait plus l’impression d’un homme d’affaires « affairé » que d’un rebelle sorti tout droit de l’enfer du maquis soudanais. Il était accompagné de quelques amis certainement croisés dans les rues parisiennes ou au métro. Sa venue avait surpris plus d’un manifestant puisqu’il avait récemment apporté un démenti à l’information publiée sur ce Blog faisant état de sa présence en France. Sur ce démenti, il s’en est expliqué ; s’excusant d’avoir été assez désagréable dans ses propos. Il a néanmoins réaffirmé qu’à l’époque de la publication de l’information, il était au Soudan, malade et couché. Sa prétendue présence en France serait donc pur fantasme de ses détracteurs qui ne lui trouveraient que des défauts. Mais il faut souligner que Koulamallah n’était pas venu à l’esplanade des Invalides cet après-midi uniquement pour apporter son soutien aux manifestants. Il était aussi et surtout venu pour rendre compte des événements de N’Djamena qu’il a « personnellement vécus » les 2 et 3 février dernier. Dans un français parfait, les mots toujours bien choisis et le verbe facile, l’ex-rebelle s’est montré particulièrement intarissable dans le récit des combats urbains qu’il raconte avec passion aux curieux qui voulaient en savoir davantage. Il affirme avoir combattu arme à la main contrairement aux rumeurs selon lesquelles le porte-parole de la CMU était confiné à son rôle de communicant. A N’Djamena où il était « le premier à y être entré avant Nouri et Erdimi », sa première tâche a été de chercher à sécuriser la ville. Des révélations sur les raisons de la dissolution de la CMU seront faites dans les prochains jours. Mais déjà, Monsieur Khoulamallah affirme faire partie du RFC. Cependant, il considère que sa position au sein du RFC pour une jonction avec Nouri est « ultra minoritaire ». Il réaffirme écarter toute tentation de se dévoyer et maintient sa volonté de « chasser Déby du pouvoir par les armes ». Selon lui, « Idriss Déby est un menteur invétéré » qui a trahi tous ceux qui se sont laissés appâter par les promesses d’accords politiques et autre postes de responsabilité. Il cite les figures habituelles (Koty, Digui, Mbardé), mais aussi « Mahamat Nour Abdelkérim qui débat actuellement contre la mort ». Pour Koulamallah, la situation de « non paix, non guerre est insupportable ». Il faudrait en finir définitivement « avec ce tyran » sans lui laisser le choix préconise-t-il. Arrivé du Caire (Egypte) le jeudi 13 mars, Abderamane Koulamallah envisage "repartir au front dès le vendredi prochain".
Origine Article : http://lyadish.over-blog.com/article-17738183.html
images des combats a Pont bélilé
IMAGES DES COMBATS A PONT BELILE TOURNEES PAR ABDERAMAN KOULAMALLAH
Vidéo envoyée par ibnchoukri
images tournées par Abderaman Koulamallah
Bataille de pontbelile
Vidéo envoyée par ibnchoukri
images tournées par aBDERAMAN kOULAMALLAH
VIDEO COMBATS UFDD
Images tournées par Ali Ordjo durant les derniers combats entre les forces de l'UFDD et le Gouvernement
Image ALI ORDJO 2
Vidéo envoyée par ibnchoukri
Combats UFDD contre les forces gouvernementales tchadiennes
Autres images des combats................. destruction d'un AML par les forces de l'UFDD
Image ALI ORDJO 3
Vidéo envoyée par ibnchoukri
cOMBATS UFDD CONTRE LES FORCES GOUVERNEMENTALES
COMMUNIQUE DES FORCES DE L'UNION
COMMUNIQUE DE PRESSE N°OOO3/PPU/CP/U/08
En cherchant à faire aboutir dans les plus brefs délais la venue de la force europeenne (EUFOR) au Tchad et en lui proposant des moyens supplémentaires,malgrè les reticences fondées des autres pays europeens , la France se préoccupe t-elle vraiment des réfugiés du Darfour ou cherche t-elle à sauver coùte que coùte son protégé deby en entrainant l'Europe dans son projet?
Le gouvernement français ne peut être neutre car il continue par ailleurs son ingérence inacceptable dans le conflit tchadien en apportant un soutien militaire au régime de N'djamena devenant ainsi un acteur dans la guerre du Tchad.
Les Forces Unies de la Résistance Nationale tireront toutes les conséquences d'un nouveau déploiement militaire français ou européen et de son eventuel engagement aux côtés du pouvoir à bout de souffle de Deby.
Elles expriment toujours, pour leur part, leur disponibilité à un réglement pacifique du conflit tchadien et appellent la France à être plutôt une puissance médiatrice défendant les valeurs universelles de justice,de paix et de liberté.
Les déclarations du ministre français de la défense pour un renforcement de la présence française au Tchad, sous le pretexte d'aider l'Eufor, apparaissent au contraire comme un relais des derniers propos belliqueux de Idriss deby qui opte pour la reprise de la guerre dans notre pays.
L'Europe quand à elle, n'a rien à faire dans ce conflit où elle n'aura rien à gagner.
Le peuple tchadien exprime sa soif de démocratie et de changement, la France, hélas une fois de plus, signifie qu'elle préfère son ami le général Deby qui pousse son pays à l'abîme.
Les politques paternalistes du passé doivent laisser la place à une vision nouvelle de l'Afrique qui doit inciter l'Europe à accompagner nos pays dans la construction de véritables Etats de droit et dans la défense des valeurs de liberté et de démocratie.
Les interventions militaires, déguisées ou pas, sont à jamais révolues et appartiennent à un passé qui ne reviendra plus!
fait à Hadjar Marfaîne le 11 janvier 2008
ABDERAMAN KOULAMALLAH
Le Porte Parole Unique de l’Union
IMAGES INSTALLATION DES ORGANES DE L'UNION
COMMUNIQUE DE PRESSE N°0001/PPU/CP/U/08
Dans le cadre de la poursuite du processus d’union des forces signataires de l’accord du 22 décembre 2007 à Hadjar Marfaine, Le Collège des Présidents regroupant le RFC, l’UFDD et l’UFDD/F a procédé lors d’une importante cérémonie devant les officiers et cadres politiques des différents mouvements à l’installation des organes prévus par l’accord :
Commandement Militaire Unifié :
- FIZZANI MAHADJIR Commandant en chef
- MAHAMAT HAMOUDA BACHIR 1er Adjoint
- IDRISS HASSAN GUERROU 2ème adjoint
Porte parole Unique :
- ABDERAMAN KOULAMALLAH Porte parole Unique de l’union.
Une commission préparatoire de seize (16) membres issus des différents mouvements a été mise en place et chargée de proposer des structures unitaires définitives ainsi qu’une forme de transition après la victoire.
Les présidents des mouvements formant le collège ont pris tour à tour la parole pour réaffirmer leur volonté irréversible à poursuivre le processus d’unité, excluant de ce fait tout retour en arrière.
Voici donc venu, pour la résistance nationale, une nouvelle et grande période d’espoir et de défi dont la portée historique ne fait plus aucun doute.
La clarté des options prises lors des différentes rencontres de Hadjar Marfaine et notre détermination à aller de l’avant pour construire une union organisée et consciente constituent nos seuls atouts pour mettre fin à ce régime à bout de souffle qui tente de maintenir notre peuple dans le désespoir et la décadence nationale.
Fait à Hadjar Marfaine le 02 janvier 2008
ABDERAMAN KOULAMALLAH
Le porte Parole Unique
IMAGES DE LA CEREMONIE D'INSTALLLATION DES ORGANES DE L'UNION PAR LE COLLEGE DES PRESIDENTS
les Présidents Mahamat Nouri, Timane Erdimi et Abdelwahid Aboud formant le collège ont présidé la cérémonie d'installation des autres organes : le Commandement Militaire Unifié et le porte Parole unique
Le commandant en Chef Fizzani Mahadjir et ses deux adjoints Mahamat Hamouda Bachir et Idriss Hassan Guerrou et le Porte parole de l'Union Abdéraman Koulamallah jurent leur fidélité et prennet l'engagement d'agir en faveur de l'Union